Wednesday, 30 May 2007

Leonard Cohen

Gracias boirita por la recomendación :)*

Gilbert Becaud

Le pianiste de Varsovie

Je ne sais pas pourquoi
Cette mélodie me fait penser à Chopin
Je l'aime bien, Chopin
Je jouais bien Chopin
Chez moi à Varsovie
Où j'ai grandi à l'ombre
A l'ombre de la gloire de Chopin
Je ne sais pas pourquoi
Cette mélodie me fait penser à Varsovie
Une place peuplée de pigeons
Une vieille demeure avec pignon
Un escalier en colimaçon
Et tout en haut mon professeur
Plus de sentiment
Plus de mouvement
Plus d'envolée
Bien bien plus léger
Joue mon garçon avec ton cœur
Me disait-il pendant des heures
Premier concert devant le noir
Je suis seul avec mon piano
Et ça finit par des bravos
Des bravos, j'en cueille par millions
A tous les coins de l'horizon
Des pas qui claquent
Des murs qui craquent
Des pas qui foulent
Des murs qui croulent
Pourquoi?
Des yeux qui pleurent
Des mains qui meurent
Des pas qui chassent
Des pas qui glacent
Pourquoi
Le ciel est-il si loin de nous?
Je ne sais pas pourquoi
Mais tout cela me fait penser à Varsovie
Une place peuplée de pigeons
Une vieille demeure avec pignon
Un escalier en colimaçon
Et tout en haut mon professeur

Tomada de vagalume.uol.com.br

Gilbert Becaud

Je t'aime
Ferme la porte et assieds-toi
Ce soir, je n'me dégonfle pas.
Ecoute ça, je t'aime !
Petite sœur, tu croyais bien
Que je t'aimais comme un copain.
C'était pas ça, non, je t'aime !
Tu vois, j'ai mis des fleurs partout.
C'est notre premier rendez-vous
Et tu viendras, dis, je t'aime.
Quand on dit ça à un fauteuil,
Dans une chambre où l'on est seul,
C'est effrayant comme on est seul.
Dis-moi bonjour, embrasse-moi,
Mais ne m'embrasse pas comm' ça.
C'est plus pareil, dis, je t'aime !
On est ensemble et on est là,
On n'ira pas au cinéma.
On restera, oh je t'aime !
Quand on dit ça à un fauteuil,
Dans une chambre où l'on est seul,
C'est effrayant comme on est seul !
Sainte Marie, priez pour moi,
Car si elle ne venait pas,
J'en crèverais, Sainte Marie, je l'aime !
Quand on dit ça à un fauteuil,
Dans une chambre où l'on est seul,
Sainte Marie, comme on est seul !

Wednesday, 23 May 2007

Sinagoga Beth Alpha

Mosaico de la Sinagoga Beth Alpha siglo VI EC (Israel)
tomado de www.atpm.com

Sinagoga Scola Levantina

Sinagoga Scola Levantina de Venecia (fundada en 1541)

Sinagoga Scuola Grande Tedesca

Interior de la Sinagoga Scuola Grande Tedesca de Venecia (de finales del s. XVIII)

Sinagoga de Djerba

Interior de la Sinagoga de Djerba (Tunez)

Wednesday, 16 May 2007

Man Ray

"Autorretrato con cámara"
tomado de thejewishmuseum.org

Adi Nes

"Soldado"
tomado de www.thejewishmuseum.org

Arthur Leipzig

"juegos de tiza en Prospect Place, Brooklynn"
tomado de www.thejewishmuseum.org

Diez judíos del Siglo XX

"Frank Kafka"
Andy Warhol
tomado de www.warholprints.com

Diez judíos del Siglo XX

"Sarah Bernhardt"
Andy Warhol
tomado de www.warholprints.com

Diez judíos del Siglo XX

"Golda Meir"
Andy Warhol
tomado de www.warholprints.com

Sunday, 13 May 2007

Leonard Cohen

The door it opened slowly,
my father he came in,
I was nine years old.
And he stood so tall above me,
his blue eyes they were shining
and his voice was very cold.
He said, "I’ve had a vision
and you know I’m strong and holy,
I must do what I’ve been told."
So he started up the mountain,
I was running, he was walking,
and his axe was made of gold.
Well, the trees they got much smaller,
the lake a lady's mirror,
we stopped to drink some wine.
Then he threw the bottle over.
Broke a minute later
and he put his hand on mine.
Thought I saw an eagle
but it might have been a vulture,
I never could decide.
Then my father built an altar,
he looked once behind his shoulder,
he knew I would not hide.
You who build these altars now
to sacrifice these children,
you must not do it anymore.
A scheme is not a vision
and you never have been tempted
by a demon or a god.
You who stand above them now,
your hatchets blunt and bloody,
you were not there before,
when I lay upon a mountain
and my father's hand was trembling
with the beauty of the word.
And if you call me brother now,
forgive me if I inquire,
"just according to whose plan?"
when it all comes down to dust
I will kill you if I must,
I will help you if I can.
When it all comes down to dust
I will help you if I must,
I will kill you if I can.
And mercy on our uniform,
man of peace or man of war,
the peacock spreads his fan.

David D'Or


Kol Hakojabim

Itzhar Cohen y Alphabeta


A-ba-ni-bi

Gali Atari & Milk and Honey



Hallelujah

Dana International



Diva

Sunday, 6 May 2007

David Broza

SILENCIOS EN TU CONTESTADOR

Pudo ser tan grande, pero no creció.

No tuvimos aquel amigo que nos presentó.

No deshice mi equipaje en tu habitación.

Ni conozco tus paisajes ni vemos el mismo sol.

Esta no es tu canción. No voy a serte fiel.

No comencé el viaje, no lo terminé.

Sólo dejé silencios, en tu contestador,

pero los has borrado…

No grité tu nombre al cielo por eso me escuchó.

Nadie trajo tus noticias ni el aire tu voz.

No hemos visto gaviotas desde el malecón.

Ni nacimos para amarnos, sólo estás en mi canción.

Esta no es tu canción. No voy a serte fiel.

No comencé el viaje, no lo terminé.

Solo dejé silencios, en tu contestador,

pero los has borrado…

Puede que ayer pidiera tiempo muerto

y hoy me estoy muriendo yo.

Sólo pido que por esta noche pueda salir el sol.

Esta no es tu canción. No voy a serte fiel.

No comencé el viaje, no lo terminé.

Sólo dejé silencios, en tu contestador,

pero los has borrado…

Silencios, sólo seré silencios, silencios...


de su disco "Isla mujeres"